A priori, nous serions dans une plus grande agitation https://www.meteolafleche.com/actualite/2025/03/21/meteo-du-14-au-23-mars-2025-froid/

Une dégradation majeure serait modélisée par les Européens et par les Américains.

Elle prendrait la forme d’un abaissement de la pression atmosphérique moyenne à la fois sur les îles britanniques mais aussi sur la France.

L’état de la mer pourrait ressembler à celle de 2019 https://www.youtube.com/watch?v=B2s66apOE2I

Problème : cette dégradation interviendrait alors que les coefficients culmineraient à 114 les Dimanche 30 et Lundi 31 Mars 2025.

Alors qu’avec des valeurs théoriques, le risque de submersion marine est déjà important ; en pratique, si une telle situation devait se produire, la submersion marine atteindrait des proportions peu courantes surtout à cette période de l’année.

Si en plus la houle devait se faire présente, l’érosion cotière prendrait davantage d’ampleur.

Côté temps, sans surprises, les précipitations seraient importantes sur l’ensemble du territoire puis uniquement sur l’Ouest et le Nord de la France.

Le champ de pression pourrait remonter par le Sud puis l’Ouest ; il n’empêcherait nullement le ciel de traine de sévir sur la plupart des régions exceptées le pourtour méditerranéen.

Avec un flux plus nordique, la limite pluie-neige aurait tendance à baisser de quoi faire du ski de printemps.

Assez peu de changements en perspective http://www.meteolafleche.com/actualite/2023/03/17/meteo-du-17-au-26-mars-2023-grandes-marees/

Et si c’était la pleine de Vendredi matin la plus intense ? Certes les coefficients de marées ne seraient « que » de 105.

Pour autant, la houle serait plus forte que les jours précédents : même avec des hauteurs d’eau à peine plus basses, le risque de submersion marine serait des plus forts surtout si c’est en marge d’une nouvelle marée de tempête.

Vu l’échéance lointaine, il faudra confirmer cette prévision qui pourrait ressembler à la situation de fin Mars 2021 https://www.youtube.com/watch?v=B2s66apOE2I

Ce qui semble en revanche plus fiable, ce serait l’accumulation d’eau supplémentaire.

En fin de week-end, les hautes pressions reviendraient par l’Ouest provoquant la bascule vers un flux plus nordique : la neige reviendrait alors sur les Vosges, le Jura et plus présente encore sur le Nord des Alpes.

Quelques divergences sur le positionnement de l’anticyclone ; a priori, il reviendrait sur les îles britanniques et résisterait sur l’Ouest de la France.

La principale conséquence serait moins d’averses sur le pays et une limite pluie-neige continuant de descendre.