Prévisions saisonnières pour la France et le reste de l'Europe
1ère quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les indices liés aux océans AO
(Arctique) et NAO (Atlantique Nord) ainsi que les modèles de
prévisions météorologiques à très long terme tendraient vers un
courant dépressionnaire présent : le flux océanique serait alors
dominant.
En dehors des précipitations, le risque de submersion marine
serait des plus conséquente notamment sur les côtes de la Manche
le Mercredi 8 par coefficient 110.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 31, pas de changement à attendre
avec encore le vent d'Ouest dominant sur fond de pression
atmosphérique moyenne des plus basses.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest.
Sur le Sud du pays : Ouest.
Bilan
Le
coeur de l'automne météo 2025 se poursuivrait dans le domaine
des fortes précipitations au point que l'anomalie dépasserait
les +20% sur pratiquement tout le pays.
Les températures seraient plus douces que la normale de la
période 1991-2020 (+0,5°C) sur fond
d'ensoleillement toujours en baisse (-5% à -10%).
NOVEMBRE 2025
1ère quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les paramètres liés au soleil
accuseraient une légère baisse ce qui ferait que les hautes
pressions reviendraient sur le Nord-Ouest de la France laissant
le système dépressionnaire sur l'Europe centrale et la
Scandinavie.
Le flux serait alors potentiellement plus nordique tout en
amenant toujours autant de précipitations.
La houle serait d'actualité sur fond de coefficient de marée
atteignant les 106 le 6 Novembre.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 30, peu de changements avec
toujours une sorte de ressenti hivernal au Nord et à l'Ouest,
plus sec en allant vers le Sud-Est au prix d'un fort Mistral.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest à
Nord-Ouest.
Sur le Sud du pays : Ouest à Nord-Ouest.
Bilan
La
fin de l'automne météorologique 2025 prendrait la forme d'un
hiver probablement précoce.
Avec le vent de Nord-Ouest dominant, les gelées matinales
seraient nombreuses sauf sur le Sud du pays sous influence des
précipitations.
Globalement, l'anomalie de température moyenne serait vers les +0,25°C
sur l'hexagone.
L'automne 2025 se
ferait dans une certaine agitation essentiellement sur le
Nord de la France (excédent 30% en eau) ; les températures
pourraient être fortement contrastées mais avec une anomalie
globale légèrement dans le positif (+0,25°C) ; quant à
l'ensoleillement, il serait déficitaire au Nord, en excédent
au Sud.
DECEMBRE 2025
1ère
quinzaine
Du
1er jusque vers le 15, les paramètres liés au soleil
remonteraient sensiblement ce qui permettraient au système
dépressionnaire du Royaume Uni d'être très actif ; en parallèle,
les hautes pressions se décaleraient sur l'Europe centrale.
2ème quinzaine
Du
16 jusque vers le 31, la tendance resterait vers le
maintien de conditions dépressionnaires au moins sur l'Ouest de
la France ; le flux de Sud-Ouest resterait dominant au moment
des fêtes de fin d'année.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest à
Sud-Ouest.
Sur le Sud du pays : Ouest à
Sud-Ouest.
Bilan
Le
début de l'hiver météorologique 2026 se ferait avec un flux
océanique d'Ouest à Sud-Ouest ; ce ne serait pas un véritable
zonal mais le défilé de perturbations donnerait des
accumulations d'eau importantes (+20%) sur l'hexagone.
Dans ces conditions, l'ensoleillement serait moribond (-5%).
Au niveau thermique, l'anomalie serait probablement dans le
positif (+0,5°C).
JANVIER 2026
1ère
quinzaine
Du 1er jusque vers le 15, le flux d'électrons tendrait à augmenter légèrement ; cette situation favoriserait un blocage anticyclonique sur l'Europe centrale avec une extension possible jusqu'en Scandinavie.
Par conséquent, le Nord-Est de la France pourrait se retrouver sous influence continentale avec de fréquentes gelées et des précipitations qui pourraient être solides.
Sur l'Europe de l'Ouest, le courant serait beaucoup plus
maritime avec un flux apportant de fortes précipitations et une
douceur.
2ème quinzaine
Du 16 jusque vers le 31, les paramètres liés au soleil pourraient accuser une nette baisse ; le système dépressionnaire pourrait se retrouver plus au Sud du pays principalement sur le Maghreb, le Portugal, l'Espagne, l'Italie.
Une telle situation donnerait des dégradations orageuses majeures sur le Sud-Est de l'hexagone, des précipitations solides au Nord conséquence d'une masse d'air nettement refroidie en altitude.
Ce
serait probablement la période la plus favorable aux offensives
hivernales.
Flux dominant
Sur
le
Nord du pays : Ouest/Est.
Sur le Sud du pays : Ouest/Sud-Est.
Bilan
Le
coeur de l'hiver météo 2026 se ferait avec un flux contrasté ;
les perturbations concerneraient finalement tout le pays
notamment le pourtour méditerranéen contrastant avec la dernière
mise à jour ; les accumulations d'eau seraient logiquement
excédentaires dans une telle situation (+30%) ce qui plomberait
l'ensoleillement (-10%).
Une telle configuration mettrait une anomale de température
proche de la normale(+0,0°C) avec de fortes
disparités entre l'Ouest (douceur) et l'Est (froid).
Tendance pour la fin de l'hiver 2025-2026
(Février) et le printemps 2026 (Mars et Avril)
FEVRIER 2026
Du
1er jusque vers le 28, les paramètres liés au soleil
seraient tel qu'un système dépressionnaire resterait actif sur
le Royaume Uni et plus globalement sur l'Europe de l'Ouest.
Il
aurait tendance à s'étendre un peu plus sur l'Est de la
Scandinavie tandis que les hautes pressions reviendraient sur
les régions bordant la Mer Méditerranée.
En gros
La fin de l'hiver météorologique 2026 resterait avec un flux océanique dominant ; les précipitations concerneraient alors tout l'Ouest et le Nord de la France, épargneraient probablement le quart Sud-Est de l'hexagone donnant une anomalie globale excédentaire (+20%).
Côté températures, elles seraient dans le positif (+0,5°C) via ce flux de Sud-Ouest.
L'hiver 2025-2026 pourrait
globalement être des plus océaniques avec une température
moyenne douce (+0,5°C), de fortes précipitations (+20%) et
un ensoleillement en berne (-10%).
MARS 2026
Du
1er jusque vers le 31, l'ensemble des paramètres
solaires seraient au plus bas ; il y aurait alors un
renforcement des hautes pressions du Portugal jusqu'à la
Scandinavie en passant par la France.
Dans l'ensemble
Le début du printemps météorologique 2026 aurait des allures...printaniers.
Il y aurait une composante Sud-Ouest anticyclonique qui aurait pour conséquences de rejeter les perturbations vers les côtes de la Manche.
Le reste du pays serait au sec dans une masse d'air douce (+0,5°C) permettant un éveil rapide de la végétation.
AVRIL 2026
Du
1er jusque vers le 30, les premières tendances
pourraient renforcer les hautes pressions sur la France.
Au final
Le coeur du printemps météo 2026 serait dans un flux de Sud-Ouest anticyclonique ; la douceur pourrait être d'actualité avec une anomalie thermique de +0,5°C sur fond de temps (-10%) et d'un soleil bien présent (+10%).