La dégradation aurait tendance à se généraliser au gré de l’intensité croissante des gouttes froides.
A priori, peu de secteurs pourraient échapper aux orages pour démarrer ce mois de Mai 2025.
Le champ de pression pourrait remonter par l’Ouest puis sur le reste de l’hexagone.
Le temps serait alors plus sec pour ce pont du 8 Mai.
Pour autant, les gouttes froides ne seraient jamais bien loin ; certaines modélisations maintiendraient leur présence, l’instabilité avec un peu comme en 2020 https://www.youtube.com/watch?v=pZQAW3J2XK0
Les hautes pressions finiraient par rendre les armes ; comme souvent, après une longue période de temps calme, la moindre dégradation serait d’une grande ampleur : ce pourrait être le cas par le Sud-Ouest avant une généralisation durant le week-end. La prudence serait de mise sur le pourtour méditerranéen dans une telle configuration.
Évidemment, vu l’échéance trop lointaine pour ce type de prévisions, il faudra attendre quelques jours avant pour une confirmation.
Pâques aux tisons en cette année 2025 ? Les modèles sont pour le moment unanimes à ce sujet.
En l’occurrence, les basses pressions portugaises et espagnoles auraient tendance à gagner notre pays.
En parallèle, les hautes pressions formeraient un blocage sur la Scandinavie et l’Europe centrale.
Du coup, le flux resterait de secteur Sud-Est apportant de l’air chaud et instable en continu ; l’instabilité serait alors récurrente pouvant prendre des intensités peu courantes au moment du week-end Pascal et même après…
Là aussi l’échéance empêche de donner des détails mais les grandes lignes commencent à être présentes.
Le courant perturbé prendrait moins d’ampleur en marge d’un retour temporaire des hautes pressions ; ça ferait presque office de pause dans la circulation océanique d’Ouest.
En effet, en fin de période, la pression atmosphérique diminuerait de nouveau par l’Ouest en marge d’une réactivation du système dépressionnaire Britannique et même Canadien.
La modélisation mettrait toujours en avant une accentuation du courant dépressionnaire ; la différence avec la semaine précédente est que les coefficients de marées dépasseraient les 110 Vendredi 18 et Samedi 19 Octobre 2024. La situation pourrait ressembler à celle de 2018 https://www.youtube.com/watch?v=CNhHYLSLWIE
En l’occurrence, si le système dépressionnaire tendait à être véritablement actif, ce ne serait pas sans conséquence sur les surcotes, vagues submersion.
Côté temps, sans surprises, le Nord et l’Ouest seraient sous les précipitations, le Sud-Est au sec pour ce premier week-end de départs en vacances.
A nouveau un courant océanique pourrait concerner la première décade du mois d’Aout ; la différence est que le flux serait de secteur Sud-Ouest-Sud : les températures pourraient alors se situer globalement au dessus de la moyenne de la période 1991-2020.
Côté temps, le Nord et l’Ouest seraient sous une humidité assez relative, le Sud-Est au sec.
Le flux deviendrait plus nordique tout en redevenant relativement dépressionnaire ; ainsi, la limite pluie-neige chuterait sur les massifs juste avant les départs en congés pour les vacances de ski.
Plus au Sud, le temps resterait sec au plus proche de l’anticyclone.
L’anticyclone du Groenland et son homologue des Açores pourraient être reliés par une vaste dorsale ; cette dorsale engloberait les îles britanniques et le Nord-Ouest de la France.
Un flux de Nord-Est assez dynamique débarquerait avec des précipitations plus solides sur fond de refroidissement.
Au moment où les grandes marées débuteraient, la décote serait alors plus importante encore : la mer se retirerait alors encore plus loin lors des basses mers.
Après une brève période anticyclonique, une énième offensive orageuse arriverait par le Sud-Ouest ; elle pourrait cette fois favoriser la porte ouverte à un courant océanique durable soit conforme à ce que mettent les modèles allant jusqu’à 4 semaines.
La modélisation n’aurait quasiment plus aucun doute sur un courant dépressionnaire qui reviendrait pile pour les grandes marées atteignant les 105 le 11 Septembre.
La houle serait fortement présente après plusieurs mois de calme ; prudence pour ces premières marées même si celles de Septembre sont calmes la plupart du temps.
Rare où les grandes marées donnent quelque chose au mois de Septembre côté houle ; mais ça peut arriver comme en 2019 ; voir notre vidéo via https://www.youtube.com/watch?v=RlwFXncjM4A
Côté temps, on devrait retrouver un dégradé Nord (humide) – Sud (sec).
Cependant, l’anticyclone GAYA a résisté bien plus que prévu, empêchant tout retour de courant d’Ouest : de quoi démarrer la saison automnale en douceur et même en fortes chaleurs.
Le Mardi 7 Septembre 2021 fut marqué par une des journées les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de Septembre.
Cette forte chaleur (30,4°C) a favorisé le phénomène de dilatation : à l’origine, il devait y avoir une décote mais ce fut une surcote de 7 cm qui fut relevée.