Le week-end pourrait faire office de pause avec une dorsale asséchant la masse d’air ; le ressenti pourrait alors être plus printanier sur les départs en congés de la seconde zone.
A priori, les basses pressions devraient être majoritaires au moins sur le Nord de la France.
Avec des marées atteignant les coefficients 101, la houle pourrait être à surveiller notamment sur les côtes de la Manche comme début Avril 2021 https://www.youtube.com/watch?v=5wSi9A5YZ_4
Côté temps, pas mal d’averses sur le Nord et l’Ouest mais en atténuation de par la remontée progressive de la pression atmosphérique.
Et si c’était la pleine de Vendredi matin la plus intense ? Certes les coefficients de marées ne seraient « que » de 105.
Pour autant, la houle serait plus forte que les jours précédents : même avec des hauteurs d’eau à peine plus basses, le risque de submersion marine serait des plus forts surtout si c’est en marge d’une nouvelle marée de tempête.
Ce qui semble en revanche plus fiable, ce serait l’accumulation d’eau supplémentaire.
En fin de week-end, les hautes pressions reviendraient par l’Ouest provoquant la bascule vers un flux plus nordique : la neige reviendrait alors sur les Vosges, le Jura et plus présente encore sur le Nord des Alpes.
Quelques divergences sur le positionnement de l’anticyclone ; a priori, il reviendrait sur les îles britanniques et résisterait sur l’Ouest de la France.
La principale conséquence serait moins d’averses sur le pays et une limite pluie-neige continuant de descendre.
Une évolution orageuse pourrait être entrevue en marge d’un talweg venant s’isoler sur l’Ouest de la France ; un débordement de l’instabilité serait possible sur le pourtour méditerranéen.
Vu l’échéance lointaine pour ce type de prévisions, la prudence est de mise dans le sens où à la prochaine réactualisation, il peut y avoir un autre scénario envisagé ou pas !
Quoi qu’il en soit, la douceur serait printanière ce qui n’aurait rien d’étonnant pour un mois de Mars.
Sur les côtes, nous rentrerons dans des grandes marées d’équinoxe avec un risque de vagues submersion à surveiller.
Une bascule du flux plein Ouest serait envisagée ; dans un tel cas, le risque de surcote serait important notamment sur les côtes de la Manche.
Avec un coefficient de marée atteignant les 111 le Mercredi 22, une vigilance serait possible.
Là aussi, vu l’échéance, il faut être prudent sur la tendance.
Le courant océanique d’Ouest persisterait et signerait. Les perturbations se feraient plus nombreuses mais aussi plus prolifiques en terme de précipitations : un bien pour les nappes phréatiques.
Peu de changements hormis une hausse de la pression atmosphérique par le Sud ; Cependant, ça n’empêcherait pas les perturbations d’arroser le Nord et l’Ouest du pays le tout dans un certain redoux.
La modélisation semblerait incertaine pour avoir un véritable courant d’Ouest ; au final, on risque de finir par un dégradé Nord (humide) / Sud (sec) qui n’arrangerait ni les stations de ski ni les vacanciers qui iraient sur la côte. ça permettrait d’avoir une houle longue mais sans forcément une grande hauteur : du grand classique a priori.
La différence serait que les coefficients de marée atteindraient les 111 le Mardi 21 avec un risque de submersion non négligeable.
A priori, peu ou pas de changements ; avec un coefficient culminant à 112 le Mercredi, cette journée serait la plus à craindre.
Dans les modèles, on resterait sur une agitation relative côté houle ; pour autant, il ne serait pas impossible que les hautes pressions reviennent.
Dans tous les cas, le flux resterait Sud-Ouest ou Sud.
L’anticyclone BEATE pourrait s’installer durablement sur le pays, du moins sur le Sud ; plus au Nord, l’influence dépressionnaire serait à peine moins marqué : seules les précipitations se feraient plus rares mais dans une masse d’air encore douces.
La dernière semaine de Janvier marquée par un blocage anticyclonique ?
Il n’y aurait pas de phénomènes d’inversion mais le flux resterait à l’Ouest ; la plupart du temps, les nuages bas domineraient la matinée avant de se dissiper ; à la place, soit du soleil (Sud), soit des averses (Nord).
A la base, la période Noel devait marquer une sorte de « pause » dans la circulation océanique ; ce ne serait pas le cas cette année avec la présence d’un Mastodonte dépressionnaire étendu du Groenland jusqu’au Portugal en incluant les îles britanniques et l’Ouest de la France.
En l’occurrence, la dépression ISABEL arriverait par le Golfe de Gascogne en cours de journée de Samedi.
La perturbation associée devrait arroser les régions du Nord en soirée.
Globalement, les précipitations seraient faibles en quantité (localement 5 mm) soit bien moins que ce qui a été relevé les jours précédents.
Sur les côtes, la houle serait en atténuation mais à surveiller quand même avec les coefficients de marée atteignant les 96 en théorique ; en pratique, avec la surcote, nous pourrions atteindre les 100. Prudence lors de la pleine mer du soir qui se situerait entre 16h et 18h selon les secteurs.
Les températures seraient incroyablement douces dans ce flux de Sud-Est puis Sud.
Le jour de Noel, la dépression ISABEL reléguerait l’anticyclone KASPAR sur l’Europe Centrale voire plus loin encore.
La perturbation progresserait avec un immense secteur chaud ; or, plus un secteur chaud est grand, plus il peut accueillir des particules en air chaud.
D’où des températures parfois dignes de celles d’un mois d’Octobre faisant que la limite pluie-neige remonterait au delà des 2000 mètres ; une catastrophe pour les stations de ski du moins celles qui n’ont pas d’alternative aux sports de glisse.
Le jour de Noel, la pleine mer du matin atteindrait les 97 en théorique ; en pratique, avec le train de houle, elle serait à surveiller. Cependant, on doute que vous serez en bord de mer sur les coups de 5h du matin pour visualiser les vagues.
En revanche, sur la pleine du soir (vers 18h), prudence car il resterait des résidus de forte houle.
Il reste à savoir si ça fera comme en 2014 où la conjonction surcote, houle et grandes marées étaient d’actualité ; notre vidéo via https://www.youtube.com/watch?v=EG6AAC5qfDM
De nouveau, les basses pressions pourraient revenir par l’Ouest notamment via le Golfe de Gascogne sous forme d’une potentielle dégradation orageuse (à confirmer vu l’échéance).
Cette dégradation aurait tendance à se généraliser à tout le pays en cours de week-end et début de semaine suivante.
Côté grandes marées, les coefficients atteindraient les 101 le Lundi ; si la surcote serait possible, la houle n’est pour l’instant pas prévue intense : là aussi la confirmation est de mise.
En revanche, la masse d’air resterait douce malgré une baisse du mercure.
A la base, les modèles tendaient vers des hautes pressions à perte de vue ; finalement, le scénario dépressionnaire pourrait se maintenir voire même peut-être s’amplifier.
Nous privilégions un scénario « intermédiaire » : les hautes pressions pourraient se reformer sur l’Océan mais n’empêcherait pas une dépression de circuler notamment sur l’Est et le Sud.
La conséquence serait un basculement temporaire du flux au Nord-Ouest apportant pas mal de grains et une fraicheur assez relative.
Une nouvelle offensive pluvio orageuse serait possible sur le quart Sud-Est en marge d’une dépression circulant sur tout ou partie de la France.
Il s’ensuivrait une sorte de courant océanique potentiellement durable.
La modélisation semblerait hésiter entre un courant d’Ouest anticyclonique ou un flux dépressionnaire ; au final, nous pourrions avoir un peu des deux.
Pour l’instant, nous privilégions le scénario du défilé de perturbations mais avec moins d’accumulations d’eau que la semaine précédente.
Une houle cyclonique pourrait se produire au moment des plus grandes hauteurs d’eau et avec probablement une surcote ; cette situation serait à surveiller le cas échéant vis à vis du risque de submersion marine.
Côté temps, sans surprises, les averses se feraient nombreuses sauf sur le pourtour méditerranéen où le vent d’Ouest assécherait la masse d’air.
Pas de changements a priori ; nous aurions toujours la présence des basses pressions sur les îles britanniques et un anticyclone sur le Sud de la France. Ce serait du grand classique à cette période de l’année.