Les premiers départs en vacances de la zone A se feraient probablement sous plusieurs forts coups de vent voire jusqu’à la tempête ; ainsi, sur les massifs, l’enneigement serait très bon à moyenne et haute altitude.
L’autre conséquence serait sur les côtes : le phénomène de surcote serait des plus importants alors que les coefficients de marée atteindraient les 111 le Dimanche 2 Mars 2025.
Le risque de submersion marine serait potentiellement inédit alors que la houle se ferait très présente : la situation ressemblerait à celle de Mars 2020 https://www.youtube.com/watch?v=ho_ZXefhqds
La prudence serait alors de mise.
Côté temps, sans surprises l’Ouest et le Nord seraient sous des précipitations abondantes.
Le Sud globalement non hormis durant le week-end des 1er et 2 Mars où un système dépressionnaire favoriserait des remontées instables : les orages seraient alors violent au niveau des précipitations et des rafales de vent.
Vu l’échéance fort lointaine, cette prévision demandera une confirmation quelques jours avant.
En plaine et en vallée, il faudrait faire attention aux cumuls en eau.
Le champ de pression remonterait un peu par le Sud ce qui devrait réduire le risque d’averses sur le pays.
En parallèle, le flux deviendrait plus nordique ce qui laisserait penser à un nouvel abaissement de la limite pluie-neige sur les reliefs.
Certaines modélisations minoritaires tableraient sur une nouvelle offensive neigeuse en plaine le Mercredi 5 Mars.
Là aussi, l’échéance est trop lointaine pour donner des détails.
Comme souvent après une longue période de temps calme, la moindre dépression est susceptible de générer un (fort) coup de vent.
Ce serait probablement le cas pour les départs en vacances de la zone C où le puissant redoux ferait fondre la neige à basse et moyenne altitude : le risque d’avalanches serait alors au plus haut.
En plaine et en vallée, il faudrait faire attention aux cumuls en eau.
Le champ de pression pourrait remonter sensiblement au moins sur le Sud et l’Est ; sur les îles britanniques, il ne serait pas impossible qu’il y ait une dorsale.
Dans un tel cas, les perturbations, quand elles passeraient, donneraient moins de précipitations.
Côté mer, avec les grandes marées, le seul souci viendrait éventuellement de la houle ; autrement, les bancs de sable se découvriraient plus faciles en marge de décote.
Une offensive orageuse de grande ampleur serait à surveiller sur le quart Sud-Est de la France ; en effet, en relation avec un système de basses pressions, l’instabilité y serait très forte : pour autant, là aussi, l’échéance fort lointaine nous empêche de donner des détails.
Autrement, le reste du pays serait moins impacté par les précipitations ; sur le quart Nord-Est, le flux resterait continental via l’anticyclone Scandinave.
Le champ de pression remonterait sur le Sud et l’Est (à confirmer), diminuerait vers les côtes de la Manche ; le système dépressionnaire prendrait de l’ampleur sur les îles britanniques signifiant le retour à une circulation océanique d’Ouest à Sud-Ouest.
Les hautes pressions pourraient être davantages présentes sur le Sud et l’Est de la France ; dans cette configuration, le flux s’orienterait au secteur Sud-Ouest limitant le risque de pluie au Nord-Ouest.
Côté vagues, il faudrait surveiller la houle longue à très longue surtout le Vendredi en marge des coefficients de marée dépassant les 90.
A priori peu de changements pour le début des vacances d’hiver ; la modélisation maintiendrait un courant d’Ouest-Sud-Ouest : une telle situation favoriserait les stations de moyenne et surtout de haute altitude (à confirmer) en terme d’enneigement.
En plaine, la douceur devrait se maintenir et les précipitations a priori cantonnées uniquement vers les côtes de la Manche : là aussi il faudrait confirmer avec les modèles à court terme.
Le courant dépressionnaire pourrait s’accentuer au point qu’un ou plusieurs forts coups de vent seraient probables.
En marge de dépression assez creuse, une autre dégradation serait également possible sur le quart Sud-Est de la France.
Sur les massifs, la limite pluie-neige diminuerait également et les accumulations d’eau seraient à surveiller.
En marge des grandes marées, les basses pressions britanniques resteraient très actives ; elles s’étendraient jusqu’au Canada ce qui laisserait penser à la présence d’une houle très longue.
Par conséquent, le risque de submersion marine augmenterait alors que les coefficients seraient en théorique de 99 ; en pratique, les 110 ne seraient pas impossible.
Les basses pressions reprendraient progressivement le pouvoir sur la plupart des régions ; les nuages bas résisteraient le temps de quelques jours sur le Nord-Est avant de laisser place à une dégradation plus franche.
Sur le quart Sud-Est, une nouvelle dégradation serait également entrevue avant le basculement du flux à l’Ouest.
Les îles britanniques retrouveraient un système dépressionnaire des plus en forme qui soient ; l’intensité des basses pressions serait telle qu’un ou plusieurs coups de vent à tempête sont modélisées.
Évidemment, l’échéance lointaine demande la confirmation de cette tendance : pour autant, des grandes lignes apparaissent et pourraient s’affiner par la suite à échéance rapprochée.
Côté temps, les accumulations d’eau supplémentaires mettraient un certain nombre de régions au Nord et à l’Ouest dans un fort excédent.
La période anticyclonique avec temps calme prendrait fin aussitôt Noel passé.
En l’occurrence, la pression atmosphérique moyenne chuterait rapidement par l’Ouest.
Comme souvent après une période calme, la moindre dépression pourrait être une tempête : la modélisation semblerait en accord avec ce sujet avec de nombreux signaux en ce sens.
Évidemment, l’échéance fait que la tendance demandera une confirmation.
Quoi qu’il en soit, l’agitation serait de mise pour le réveillon du Nouvel An.
L’année 2025 débuterait en fanfare niveau tempête et ce dès les premières heures du jour de l’an.
Les précipitations seraient également abondantes avant le retour partiel de hautes pressions par l’Ouest.
Le flux rebasculerait au nordique aboutissant à une limite pluie-neige plus basse sur l’Est de l’hexagone.
Ensuite, la modélisation Copernicus favoriserait toujours un maintien dépressionnaire sur le pays.
Dans ce cas, les potentielles perturbations continueraient de défileraient dans un flux de Nord-Ouest apportant potentiellement de la neige en plaine sur les régions de l’Est, des précipitations également solides ailleurs.
Encore une fois la modélisation amplifierait la circulation océanique d’Ouest : les perturbations défileraient en continu maintenant une douceur relative au sol, un refroidissement en altitude.
Seul le pourtour méditerranéen échapperait aux intempéries.
Pour le jour de Noel, un basculement du flux au Nord-Ouest ne serait pas impossible ; dans un tel cas, la limite pluie-neige pourrait bien descendre en dessous des 1000 mètres sur les Vosges, le Jura et le Nord des Alpes. Sur les côtes, la situation ressemblerait à celle d’il y a quelques années https://www.youtube.com/watch?v=y48IxK01DOs
En plaine, le refroidissement serait plus relatif.
Quant aux régions bordant la Mer Méditerranée, elles resteraient au sec une nouvelle fois.